Un conseil précieux concernant la critique et de l'éloge

Un conseil précieux concernant la critique et de l'éloge : Cheikh Abdel Aziz Ibn Baz رحمه الله 

Vous avez émis une déclaration il y a à peu prêt deux semaines, concernant la manière de faire des critiques entre les prédicateurs et les Savants, et de ne pas critiquer des personnes... et certains l'ont interprété en l’appliquant sur des personnes en particulier, quel est votre avis concernant cette interprétation ? 
Au nom d'Allah le tout miséricordieux le très miséricordieux, la louange est à Allâh, et prière et salut d’Allâh sur le Prophète et sur sa famille et ses compagnons et ceux qui ont été guidé sur sa voie. 
Quant à ce qui suit :
La déclaration citée par celui qui a posé cette question, avait pour but, le conseil à nos coreligionnaires Savants et prêcheurs afin que les critiques adressées à leurs confrères, à travers ce qui est publié comme articles, conférences ou colloques, soient constructives loin de toute diffamation ou désignation de noms de personnes; puisque cela peut avoir pour conséquence le fait de semer l'animosité et la haine entre tout le monde.
Faisait parti des habitudes du Prophète (ﷺ ) et de sa méthode lorsque lui parvenait de certains de ses compagnons quelque chose contredisant la Charia, de l'avertir par sa parole (ﷺ ): Pourquoi certaines personnes disent-elles ceci et cela? ensuite il (ﷺ ) démontrait l'ordre de la religion.

Par exemple Il (Le prophète ﷺ ) a appris qu'une personne a dit: je prie toute la nuit sans dormir, et une autre a dit: je jeûne sans rompre mon jeûne, et la troisième a dit: je ne me marie jamais, alors le Prophète (ﷺ ) a prononcé un sermon, commençant par louer Allah et L'invoquer, puis il a dit: Pourquoi certaines personnes disent-elles ceci et cela? Quant à moi, je jeûne un temps et je mange un autre. Je pris une partie de la nuit et j’en dort une autre et j’épouse les femmes. Celui qui se détourne de ma Sunna n’est pas de ma communauté. .
Je tentais de dire comme a dit le Prophète (ﷺ ), dans le sens que l'avertissement se fait de cette manière "certaines personnes disent ceci, et d'autres disent cela, et ce qui est permis est ceci, et le devoir est cela...", ainsi la critique se fait sans diffamation à l'encontre d'une personne précise, mais uniquement pour démontrer l'ordre religieux, que le devoir est ceci,et ce qui est permis est ceci et ce qui convient c'est cela sans pour autant dire un tel a fait ceci, un tel a dit cela, afin de sauvegarder l'alliance, l'amour et l'entente entre les coreligionnaires, les prêcheurs et les Savants, et En plus, je n'ai nullement signifié des personnes bien déterminées, mais je voulais dire la totalité des prêcheurs et Oulémas, à l'intérieur et à l'extérieur. Ma recommandation à tout le monde est: Le fait d'adresser des conseils et des critiques doit être de manière abstraite sans désignation (de personne déterminée), car le but est d'avertir de l'erreur et ce qu'il faut démontrer du vrai et de la vérité, sans avoir besoin de diffamer telle ou telle personne ou dire c'est tel ou tel qui est visé. Qu'Allah accorde à tous la réussite. .
Donc le fait de désigner le nom de celui qui a fait l'erreur ne fait pas parti des principes de l'islam ? oui

L'appellation "Salafi"

L'appellation "Salafi"

Par Shaykh Dr. Muhammad 'Umar Bazmoul


"Il (un inconnu) dit :

"Si nous enlevons "Ô Salafi" et nous mettions "Ô Musulman", cela serait mieux car l'attribut -Musulman- est prioritaire face à l'attribut -Salafi-"


Je (Sh. Bazmoul) dis :

Ce n'est pas tout musulman qui est salafi, car certes les gens de l'innovation et des déviances, s'ils ne tombent pas dans la mécréance, l'appellation de l'Islam les englobe. Par contre l'appellation Salafi ne les englobe pas.

Et ce qu'est voulu par l'appellation Salafi, est celui qui est attentif à être comme le messager ﷺ et ses compagnons étaient.

Et le messager ﷺ dit : "et certes ma communauté se divisera en 73 groupes tous iront en Enfer sauf un.

Ils ont dit : "quel est-il ô Messager d'Allah ?"

Il a répondu : "Al-Jama'a"

et dans une version : "celui qui est sur le même chemin que moi et mes compagnons"

Et ce Hadith nous profite sur ces points :

- Le premier : la communauté du messager ﷺ se divisera en 73 groupes.

- Le second : les gens de la division et de la divergence, ceux qui s'affilient à ces groupes sont menacés d'être en enfer.

- Le troisième : les textes législatifs indiquent que sa parole ﷺ "tous iront en enfer", c'est à dire que cela est leur menace et leur châtiment si Allah veut les châtier, ou sinon ils sont sous la volonté d'Allah, s'Il veut Il les châtie, et s'Il veut Il leur pardonne, conformément à Sa parole (traduction rapprochée) :

"Certes Allah ne pardonne pas qu’on Lui donne quelqu’associé. A part cela, Il pardonne à qui Il veut. Mais quiconque donne à Allah quelqu’associé commet un énorme péché" (S4 V48)

- Le quatrième : le groupe victorieux et sauvé est le seul qui sera épargné de cette menace.

- Le cinquième : La caractéristique de ce groupe sauvé et de ce parti victorieux est qu'il se conforme à l'union des gens de la Sounnah. Et c'est sur quoi était le messager ﷺ et ces compagnons.

La voie de ce groupe sauvé est ce qui est voulu dans Sa parole exalté soit-il (traduction rapprochée des sens) :
"Et quiconque fait scission d’avec le Messager, après que le droit chemin lui est apparu et suit un sentier autre que celui des croyants, alors Nous le laisserons comme il s’est détourné, et le brûlerons dans l’Enfer. Et quelle mauvaise destination!"

Donc ce groupe et sa voie sont le sentier des croyants, celui qui s'écarte donc du messager ﷺ délaissant son suivi a certes suivi autre que le sentier des croyants.

C'est pour cela que j'ai dit "Ô Salafi" c'est le seul qui représente l'islam purifié des innovations et des contradictions, (le seul) qui a été promis au salut et à la victoire de la part d'Allah exalté soit-il.
Et le contrevenant à la méthodologie Salafie est menacé par le châtiment d'Allah exalté soit-il.
Et c'est Allah qui accorde la réussite."

Traduit par Anas Abou Malik Al-Maimouni

Source en arabe : https://www.facebook.com/mohammadbazmool/posts/1014079528710533

Le jugement de la photographie

Le jugement de la photographie

Le jugement de la photographie

Par Shaykh Dr. Muhammad Ibn 'Umar Bazmoul

Question :

"Est ce que la photographie est autorisée ou interdite ? Et que dites vous à celui qui dit que la photographie est autorisée ?"

Réponse :

"L'image photographique n'est pas l'image interdite selon ce qui m'apparait (comme preuves) et Allah est plus savant. Et ce, car les Hadiths indiquent que les images interdites possèdent deux causes :

- la première est qu'elles sont une imitation/simulation de la création d'Allah
- la seconde est qu'elles sont glorifiées d'une manière conduisant au Shirk

Ainsi, les images photographiées ne sont pas une imitation/simulation de la création d'Allah, elles sont plutôt l'arrêt/la capture de l'image comme Allah l'a crée.
Et si elles ne sont pas glorifiées, le point menant au Shirk est écarté.
Et Allah est plus savant."

Traduit par Anas Abou Malik Al-Maimouni

Est ce que les deux anges qui notent les actions notent ce que la personne émet comme intention, bonne ou mauvaise?

Q: est ce que les deux anges qui notent les actions notent ce que la personne émet comme intention, bonne ou mauvaise?

Shaykh l-Fawzân: Allâhou Jalla wa Alâ a dit: { Il sait ce que vous faites} (trad relat). (Les deux anges) notent l'acte qui s'est produit. Quant à l'intention dans le coeur ne la connait qu'Allâh SobhânaHou wa Ta'âlã.

Traduit par le Cercle des Sciences
https://telegram.me/cercle_sciences

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Ne serait-ce que d'un seul pas...

D'après Abū Hurayrah رضي الله عنه le Messager d'Allaah صلى الله عليه وسلم a dit :

" لا يمشِ أحدُكم في نعلٍ واحدةٍ، ليَنْعلْهما جميعًا ، أو ليَخْلعْهما جميعًا ".

"Qu'aucun d'entre vous ne marche en ne portant qu'une seule sandale à ses pieds, qu'il enchausse les deux ou qu'il retire les deux".

[Rapporté par Al Bukhaarī & Muslim]

Il fut mentionné que quelqu'un interrogea le Cheikh Ibn Baaz (m.1420 h) رحمه الله en lui disant :

"Si la deuxième sandale se trouve à seulement un ou deux pas de moi, puis-je l'atteindre en marchant avec une seule sandale?"

Le Cheikh a alors répondu :

"Si tu es en mesure de ne pas aller à l'encontre de la Sunnah ne serait-ce même que d'un pas, alors fais-le".

[Cité par le Cheikh °Abdarrazzaaq al Badr حفظه الله dans son commentaire du livre "شمائل النبي", p.121]

Publié sur "Rappels et Enseignements"

http://urlz.fr/3qve

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Rappels & Enseignements

Daawùd Abù Ismaa°ìl al Andalussì

Inviter des gens à la aqiqa fait il partie de la sounna?

Inviter des gens à la aqiqa fait il partie de la sounna?

https://m.box.com/shared_item/https%3A%2F%2Fapp.box.com%2Fs%2Fhe8gbm01cuszih6q7ctjm2dg3dk2l0q8

Q : concernant la aqiqa de la petite fille, ô shaykh, devant la multitude des gens présents, son père a voulu sacrifier un autre mouton. Y a-t-il dans cela une transgression à la sunna ?

Shaykh Al Albânî : il ne s'y trouverait pas de transgression à la sunna si lui connaissait la sunna. Mais je pense qu'il ne connait pas la sunna. Car beaucoup de gens pensent que la aqiqa, on doit (obligatoirement) y inviter les gens. Or, cela ne fait pas partie de la sunna.

‎( سلسلة الهدى و النور شريط 209)

Cercle des Sciences

Craignez Allah comme vous le pouvez

Allah تعالى dit dans la traduction approchée du sens : ▪️ {craignez Allah comme vous le pouvez}

👤 L'imâm ibn Sa'di رحمه الله dit en commentaire de ce verset :

🔹"Qu'Allah fasse miséricorde à celui qui a soutenu cette religion ne serait-ce que par la moitié d'une parole, et certe la perdition se trouve dans le fait que le serviteur délaisse ce qui lui est possible de l'appel à cette religion."

[al qawl as sadîd 1/37]

✍Traduction : Abu Zayd Abdullah Mayer©

La prière de la femme dans sa maison est meilleure que sa prière à la mosquée. Si elle est à La Mecque, sa prière dans son hôtel est-elle meilleure que sa prière dans le Sanctuaire ?

Q: La prière de la femme dans sa maison est meilleure que sa prière à la mosquée. Si elle est à La Mecque, sa prière dans son hôtel est-elle meilleure que sa prière dans le Sanctuaire ?


R: Quel que soit l'endroit où elle s'installe, que ce soit à La Mecque, à Médine ou à Jérusalem, la prière de la femme chez elle est meilleure que sa prière à la mosquée. Le même raisonnement s'applique à l'homme en ce qui concerne les prières surérogatoires. Il est préférable pour lui de les accomplir chez lui et non à la mosquée, même si c'est la Mosquée Sacrée. Cela tient à deux preuves :


- La première : la portée générale de la parole du Prophète صلى الله عليه وسلم au sujet de la prière nocturne, durant le mois de Ramadan. Il prie avec les Compagnons les trois premières nuits. La quatrième nuit, c'est derniers se réunirent, mais le Prophète صلى الله عليه وسلم ne sortit pas à leur rencontre, si bien que certains insouciants lancèrent des cailloux contre sa porte. Il sortit aussitôt et déclara avec mécontentement : "Certes, je savais que vous étiez là à attendre. C'est à dessein que je ne suis pas sorti. Ô gens ! Priez dans vos maisons ! Car la meilleure prière d'un homme est celle qu'il accomplit à la maison, à l'exception de la prière prescrite"; 


- La deuxième : elle est spécifique à la mosquée du Prophète صلى الله عليه وسلم. En effet, un Compagnon vint lui poser une question de ce genre : " Dois-je accomplir la prière surérogatoire à la mosquée ou chez moi ?" Le Prophète صلى الله عليه وسلم répondit : "Vois-tu ma maison qui est la ? Y a-t-il plus proche qu'elle de ma mosquée ?" L'homme dit : "Non." Le Prophète صلى الله عليه وسلم reprit : "La meilleure prière d'un homme est celle qu'il accomplit dans sa maison, à l'exception de la prière prescrite."


Remarque : Considérons le cas d'une personne qui réside dans un pays doté d'un mérite particulier, comme la Mosquée Sacrée, la Mosquée du Prophète صلى الله عليه وسلم ou la Mosquée al-Aqsâ. Dans une telle situation, la prière obligatoire de la femme chez elle et la prière surérogatoire de l'homme chez lui n'ont d'autre signification que celle-ci : la prière est meilleure chez soi que dans l'une de ces trois mosquées.


Par conséquent, si l'homme effectue une prière surérogatoire à la Mosquée Sacrée, sa prière vaut cent mille prières. De même, si la femme accomplit une prière obligatoire ou surérogatoire à la Mosquée Sacrée, sa prière vaut cent mille prières. Mais si l'homme s'acquitte de cette prière surérogatoire chez lui et si la femme prie dans sa maison, je la prière de chacun d'eux équivaudra à plus de cent mille prières. Voilà le sens de la préférence.



[Fatwas contemporaines de Shaykh Muhammad Nâsir Ad-Dîn Al-Albânî p. 338-339]

Rappels & Enseignements

Seigneur bénis-nous rajab et cha’bâne et fais nous parvenir à ramadhân ». Quelle est l’authenticité de ce hadîth ?

Question : noble shaykh, le Messager ﷺ a dit : « Seigneur bénis-nous rajab et cha’bâne et fais nous parvenir à ramadhân ». Quelle est l’authenticité de ce hadîth ?

Shaykh Ibn l-Utheymîne : cela est faible et il n’est pas authentique du Prophète ﷺ. Certes, le Prophète ﷺ aurait été le plus ardent des gens à ce qu’Allâh lui bénisse ramadhân. Comment pourrait-il dire : bénis nous rajab et cha’bâne et fais nous parvenir à ramadhân ? Bien et sans « et bénis le moi » ? Quoi qu'il en soit, ce hadîth est faible et il n’est pas authentique du Prophète ﷺ

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Un frère Mouhajir voudrait savoir concernant son appartement qui la en France , si il peut le garder et si il peut le louer à des mécréants ou seulement à des musulmans ?

Sheikh ferkous ( qu'Allah le préserve ) sur une question poser hier matin après salât fajr 22/11/1436 .(par un frere sur place)
Q: Sheikh , un frère Mouhajir voudrait savoir concernant son appartement qui la en France , si il peut le garder et si il peut le louer à des mécréants ou seulement à des musulmans ?

Réponse de Sheikh :
La hijra c'est le talaq ( séparation ) a quoi sert de parler de hijra puis de revenir en pays mécréants ???
Garder ton appartement te poussera à y retourner , pour éventuellement modifier le contrat , ou pour diverse raison ou prétexte , comme des travaux de rénovations , etc , etc...
Donc le mieux et de revendre et délaisser tous biens en terre de mécréances.
Beaucoup de personne qui prétende faire la hijra , puis tu les vois faire des allers retours dans leurs anciens pays de mécréances comme si de rien était ...
Et ils appellent sa la hijra ???
Non cela ne fait pas partis de la hijra !!!
Donc revenais au salafs qui ont tous quitté et tous délaisser pour la hijra et n'ont pas fait des aller retours .
Faite une hijra véritable et sincères , délaisser ce pays de mécréances .

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Je suis un salafi.

Extrait du débat qu'il y a eu entre Sh. al Albani -رحمه الله- et Abu Shaqa auteur du livre "la libération de la femme musulmane pendant le temps de la révélation" :

Shaykh al albani demande : « Quel est votre madhab ? », que direz-vous ? »

Abu Shaqa : je dirai : « je suis musulman. »

Shaikh : « ce n'est pas suffisant. »

Abu Shaqa : « mais Allah nous a nommés musulmans. » Et ensuite il a récité le verset : : « lequel vous a déjà nommés musulmans avant (ce livre) et dans ce (livre). » [Sourate Al-hadj : 78]

Shaikh : « c'est une réponse correcte - si nous vivions pendant la première génération, avant la propagation des groupes. Ainsi si nous devions demander à un musulman aujourd'hui, parmi ces groupes desquels nous divergeons fondamentalement dans le credo, sa réponse ne serait pas différente, tous - le Shi'i, le Rafidi, le Khariji, le Durzi, le Nusairi, le 'Alawi - diraient « je suis musulman. » Donc ce n'est pas suffisant de nos jours. »

Abu Shaqa : « si alors je dis : « je suis un musulman sur le Qur'an et la Sunna. »

Shaikh : « ce n'est pas aussi suffisant. »

Abu Shaqa: « pourquoi pas? »

Shaikh : « Pouvez-vous trouvez une personne des gens que nous venons de citer en exemple disant : « je suis un musulman qui n'est pas sur le Qur'an et la Sunna. » Quelle personne dira qu'elle n'est pas sur le Qur'an et la Sunna ? » Alors le Shaikh a commencé à lui expliquer l'importance de cette expression supplémentaire, que nous avons adopté. Et qui est : le Qur'an et la Sunna avec la compréhension des Salaf As-Salih (pieux prédécesseurs).

Abu Shaqa : « alors je suis un musulman sur le Qur’an et la Sunna avec la compréhension des Salaf As-Salih (des pieux prédécesseurs). »

Shaikh : « ainsi si quelqu'un devait vous demander quel est votre madhab, vous le lui diriez ? »

Abu Shaqa : « Oui. »

Shaikh : « que penseriez-vous si raccourcissions ceci linguistiquement, car les meilleurs types de discours sont ceux qui sont courts, mais ont beaucoup de significations ? Disons donc (seulement): je suis un salafi. »

:arrow_right: Source : Limadha Akhtartu Al-Manhaj As-Salafi (page. 36-38)

certaines personnes ont pour habitude de dire "bismiLlâh" lorsqu'ils veulent faire chaque chose faisant partie des affaires usuelles. Y a-t-il à cela une base ou cela doit il être réprouvé?

Question: Certaines personnes ont pour habitude de dire "bismiLlâh" lorsqu'ils veulent faire chaque chose faisant partie des affaires usuelles. Y a-t-il à cela une base ou cela doit il être réprouvé?

‎‏Shaykh Al Fawzân: le Rappel d'Allâh Jalla wa Alla et dire " bismiLlâh", cela fait partie des moyens de préservation par le Rappel d'Allâh SobhânaHou wa Ta'âlã. Et cela est légiféré sauf au cas où la personne entre aux toilettes, il ne fait alors pas le Rappel d'Allâh jusqu'à ce qu'elle sorte. Mais, elle se Le rappelle en son coeur et elle ne se Le rappelle pas avec la langue.

Traduit par le Cercle des Sciences

https://telegram.me/cercle_sciences

http://alfawzan.af.org.sa/node/16277

السؤال: 

اعتاد بعض الناس إذا أراد فعل أي شيءٍ مِنَ الأمور العادية يقول: بسم الله، فهل لهذا أصلٌ أو يُنْكَرُ عليه؟

‎الجواب:ذِكرُ اللهِ-جلّ وعلا- وقولُ"بسم الله" هذا مِنَ التَحَصُّن بذِكرِ الله-سُبحانه وتعالى-، وهو مشروعٌ إلا في حالة إذا كان الإنسانُ داخِلَ مَحَل قضاء الحاجة، فإنه لا يذكُر الله حتى يخرُج، لكن يذكُرُه بقلبه ولا يذكُره بلسانه.