L'éminent Cheikh Muhammad ibn Saalih al °Uthaymīn رحمه الله a été interrogé :
Quel est l'avis de votre éminence au sujet d'un homme qui reste assis jusqu'à ce que l'imam entre en inclinaison (rukū°), il se lève alors et entre en prière avec lui?
Il a répondu :
Le fait que celui qui prie derrière un imam retarde son entrée en prière jusqu'à ce que l'imam prononce le "takbīr" (la formule: "Allaahu akbar") de l'inclinaison est une manière d'agir qui n'est pas correcte. J'émets même une réserve [et évite de me prononcer] au sujet de la validité de son unité de prière (rak°ah) dans un tel cas : est-elle valable ou ne l'est-elle pas?
Ceci parce que cet individu a délibérément retardé [son entrée en prière] de sorte à ce qu'il ne soit plus en mesure de réciter "al faatihah", alors que la récitation de celle-ci constitue un pilier dont ni l'imam, ni celui qui prie derrière lui, ni celui qui prie seul ne sont dispensés de s'acquitter.
Le fait donc qu'il reste [assis] jusqu'à ce que l'imam entre en inclinaison, puis qu'il se lève enfin pour s'incliner avec lui constitue sans aucun doute une erreur, ceci représente même un danger quant à [la validité de] sa prière, ou du moins, de cette unité (rak°ah) en question, étant donné l'éventualité que celle-ci ne lui soit pas comptée et ne soit donc pas effective.
["Majmū al fataawaa wa ar rassaa'il", vol.15/p.118, question n°981]
http://urlz.fr/3qve
Quel est l'avis de votre éminence au sujet d'un homme qui reste assis jusqu'à ce que l'imam entre en inclinaison (rukū°), il se lève alors et entre en prière avec lui?
Il a répondu :
Le fait que celui qui prie derrière un imam retarde son entrée en prière jusqu'à ce que l'imam prononce le "takbīr" (la formule: "Allaahu akbar") de l'inclinaison est une manière d'agir qui n'est pas correcte. J'émets même une réserve [et évite de me prononcer] au sujet de la validité de son unité de prière (rak°ah) dans un tel cas : est-elle valable ou ne l'est-elle pas?
Ceci parce que cet individu a délibérément retardé [son entrée en prière] de sorte à ce qu'il ne soit plus en mesure de réciter "al faatihah", alors que la récitation de celle-ci constitue un pilier dont ni l'imam, ni celui qui prie derrière lui, ni celui qui prie seul ne sont dispensés de s'acquitter.
Le fait donc qu'il reste [assis] jusqu'à ce que l'imam entre en inclinaison, puis qu'il se lève enfin pour s'incliner avec lui constitue sans aucun doute une erreur, ceci représente même un danger quant à [la validité de] sa prière, ou du moins, de cette unité (rak°ah) en question, étant donné l'éventualité que celle-ci ne lui soit pas comptée et ne soit donc pas effective.
["Majmū al fataawaa wa ar rassaa'il", vol.15/p.118, question n°981]
http://urlz.fr/3qve
No hay comentarios:
Publicar un comentario