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LE REMÈDE CONTRE L’ENVIE..⁉️

Le savant Ibn 'Othaymin - رحمه الله  a dit dans le sens  :


⭕️ Si tu vois qu'Allah a accordé des bienfaits à autrui dans : 


 que ce soit de l'argent 

ou de la connaissance 

ou  la santé 

ou un statut social 

 ou des enfants 

 ou autre chose 


🔹 dis :

فقل : اللهم إني أسألك من فضلك ، :


« Ô Allah, je te demande de me faire bénéficier de ta générosité », 

comme Allah le dit dans le coran  : 

﴿ واسألوا الله من فضله ﴾ 

"Et demandez à Allah de Sa grâce"

Au lieu de rester accablé et triste chaque fois que tu observes une bénédiction d'Allah sur quelqu'un d'autre, et de te laisser consumer par cela, chaque fois que tu ressens une forme d'envie,


Dis : أعوذ بالله من الشيطان الرجيم ، اللهم إني أسألك من فضلك كما أعطيت هؤلاء ألا تحرمن

"Je cherche refuge auprès d'Allah contre le diable maudit, ô Allah, je te demande de me faire bénéficier de ta grâce, tout comme Tu as accordé à ces personnes, ne m'en prive pas."

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#المصدر:【 اللقاءات الشهرية (٣٩) 】


Rencontrer les gens en souriant et ayant un visage détendu...

 Ibn Battâl, qu'Allâh lui fasse miséricorde, a dit :


"Rencontrer les gens en souriant et ayant un visage détendu en est certes un des caractères de la Prophétie ; il est contraire à l'orgueil et attire l'amour fraternel."

Explication de L'authentique d'El Boukhârî d'Ibn Battâl, vol. 5, p. 193.

Trad.: Dr Aboû Fahîma.

قال ابن بطال رحمه الله:

"إن لقاء الناس بالتبسم وطلاقة الوجه من أخلاق النبوة، وهو مناف للتكبر وجالب للمودة."

شرح صحيح البخاري لابن بطال، 193/5.

Pour ce qui est de la récitation du Qur’ân, la femme en état de menstrues, de lochies ou l’homme en état de grande impureté récitent parfois le Qur’ân en le touchant. Il n’y a rien de mal en cela incheAllah ?

 Avis de Sheykh el albani رحمه الله

 

 

Question : Pour ce qui est de la récitation du Qur’ân, la femme en état de menstrues, de lochies ou l’homme en état de grande impureté récitent parfois le Qur’ân en le touchant. Il n’y a rien de mal en cela incheAllah ?


Réponse : Pour ce qui est de la femme en état de lochies pu de menstrues, il n’y a aucun mal, car dans la Législation leur cas n’est cas comme celui (ou celle) qui est en état de grande impureté, car ce dernier, s’il veut réciter ou toucher le Qur’ân, premièrement il peut se purifier et deuxièmement cela est meilleur pour lui et plus méritoire. Quant à la femme en état de menstrues ou de lochies, elle ne peut se purifier, et celui qui veut la conseiller n’a d’autre choix que de lui dire « Cesse de réciter le Qur’ân » que ce soit par cœur ou en touchant le Qur’ân, surtout la femme en état de lochies et plus encore celle dont la période s’étend sur quarante jours (après l’accouchement). Mais cela sera la cause de la rupture de son lien entre elle et son Seigneur par la lecture du Livre d’Allah. Soit il l’empêche de maintenir ce lien, soit il lui dit : puisque tu ne peux te purifier, récite (et touche) le Qur’ân, et c’est ce que nous disons. Pourquoi ?

 

Premièrement : car il n’y a pas de preuve qui vienne interdire à celui qui est en état de grande impureté, homme ou femme, de toucher ou réciter le Qur’ân. La base est que les choses sont permises et c’est une règle connue dans les fondements du Fiqh.

Deuxièmement : on trouve des hadiths qui viennent confirmer cette règle. Comme on dit : « lumière sur lumière », mais même s’il n’y avait pas ces hadiths, la règle serait suffisante, car toute règle religieuse, si c’est vraiment une règle religieuse, repose sur des preuves religieuses, et pas seulement sur la raison ou les passions. Ainsi, si on ne trouve pas dans la Législation une preuve qui vienne interdire une chose, nous revenons pour cette chose à la règle de base. Parmi ces règles par exemple : La base pour les choses (de ce monde) est qu’elles sont permises et pures. Par exemple ces enregistreurs, il y en a des blancs, des noirs, en plastique… cela est-il pur ? Oui nous disons que c’est pur comme l’a dit notre frère, et si quelqu’un nous demande notre preuve pour ces milliers de choses que les gens utilisent sur terre, nous ne pouvons donner une preuve pour chaque chose, mais notre preuve est la règle : la base pour les choses est qu’elles sont pures. Autre exemple : la mangue est-elle licite ou illicite ?

Q : Licite.

R : Donne nous une preuve textuelle qui dise le Prophète صلى الله عليه و سلم a dit que la mangue était licite… Il y a des règles : la base pour les choses est qu’elle sont permises. Revenons à notre sujet de conversation : la base est que l’homme en état de grande impureté, la femme en état de menstrues ou de lochies peuvent lire le Livre d’Allah, plus encore cela est meilleur pour eux ! Si quelqu’un vient et dit : Non cela n’est pas permis, nous lui disons « apportez vos preuves si vous êtes véridiques. » tant qu’il n’y a pas de preuve, nous restons sur la règle de base. Parmi ces règles : la base est de libérer sa conscience (barâ’ah ad-dhimmah) qu’est-ce que cela signifie ? Je dis que j’ai prêté à untel 100 dinars, la Législation me dit : apporte une preuve, sinon la base est qu’il a sa conscience pour lui (et ne doit rien), et c’est une règle très importante.

De là vient aussi la règle : la base pour les choses est qu’elles sont permises, et sur notre question nous avons des preuves qui viennent confirmer cette règle de base sur cette question précise. Par exemple, lorsque le Prophète صلى الله عليه و سلم
 a accompli son pèlerinage d’adieu et qu’ils sont arrivés en un lieu appelé Sarif aux environs de la Mecque, car il venaient à dos de bêtes, ils ont installé un camp et le Prophète صلى الله عليه و سلم rentra dans la tente de ‘Aishah رضي الله عنها et la trouva en train de pleurer. Il lui dit : « Qu’as-tu, ô ‘Aishah ? Tu as tes règles ? » Elle dit : « Oui, Messager d’Allah. » Il dit : « C’est une chose qu’Allah a écrit aux filles d’Adam. Fais tout ce que fait (normalement) le pèlerin, sauf tourner (autour de la Ka’ba) et prier. » Le pèlerin rentre-t-il dans la Mosquée sacrée ? Oui, il y entre. Et lui a-t-il interdit de rentrer dans la Mosquée Sacrée ? Non, mais seulement de tourner autour de la Ka’ba, c’est pour cela qu’il lui a dit : « Fais tout ce que fait (normalement) le pèlerin, sauf tourner (autour de la Ka’ba). » Ainsi, la femme en état de menstrues peut entrer dans la Mosquée Sacrée, et a fortiori dans les autres mosquées, c’est une analogie par ordre de priorité. Le pèlerin ne lit-il pas le Qur’ân ? Si, il lit le Qur’ân donc il est permis (à la femme en état de menstrues) de lire le Qur’ân. Tout ceci a comme preuve ce hadith, et la règle de base est la permission, donc il est permis à la femme en état de menstrues ou de lochies de lire le Qur’ân, et lorsqu’elle se purifie, si elle se lave et fait ses ablutions pour lire cela est meilleur pour elle. »

 

Entrer dans la mosquée en état d’impureté

 Entrer dans la mosquée en état d’impureté

Shaykh Al-Albânî


L’entrée dans la mosquée de la femme en état de menstrues, surtout en cas de nécessité, d’après le hadith de Â’ishah qui rapporte : « Le Messager d'Allah (salallahu ‘alayhi wasalam) m’a dit : « Apporte-moi la natte qui est dans la mosquée. » Je dis : « J’ai mes règles. » Il dit : « Tu n’es pas responsable de tes règles. » Je la lui ai donc apportée. » (Muslim et d’autres)

Like a Star @ heaven Ce que l’on tire du hadith :

At-Tirmidhî a dit : « Le hadith de cÂ’ishah est Hasan-Sahîh, c’est l’avis de l’ensemble des savants et nous ne connaissons pas une seule divergence sur le fait que la femme en état de menstrues puisse prendre une chose dans la mosquée. »

Al-Khattâbî a dit dans Al-Macâlim : « On peut tirer du hadith que la femme en état de menstrues peut prendre quelque chose de sa main dans la mosquée, et celui qui jure de ne pas entrer dans une maison ou une mosquée ne parjure pas en faisant pénétrer sa main ou seulement une partie de son corps, et ce tant qu’il n’entre pas totalement. »

Ses propos montrent qu’il a compris du hadith que cÂ’ishah n’a rentré que sa main dans la mosquée, c’est pour cela qu’il a fait cette déduction concernant celui qui prête serment. C’est une compréhension sous-jacente et une limitation du hadith que rien n’indique. Il est possible que Al-Khattâbî soit d’avis que la femme en état de menstrues ne peut entrer dans la mosquée, en raison d’une preuve qu’il possède et par laquelle il a restreint la portée de ce hadith. Cela aurait été correct si sa preuve était authentique, mais elle ne l’est pas, comme nous allons le montrer, ainsi le hadith doit garder sa portée générale.

Cela est confirmé par ce que rapporte Sufyân d’après Manbûn, d’après sa mère qui dit : « J’étais chez Maymûnah lorsque Ibn cAbbâs est arrivé. Elle lui dit : « Ô mon enfant ! Qu’ont tes cheveux à être ébouriffés de la sorte ? » Il dit : « Umm cAmmâr a ses règles. » Elle répondit : « Et alors mon enfant ! Qu’ont à voir les règles avec la main ? Le Messager d'Allah (salallahu ‘alayhi wasalam) entrait chez l’une d’entre nous alors qu’elle avait ses règles, il posait sa tête sur son giron et lisait le Coran, puis l’une d’entre nous posait sa natte dans la mosquée. Oui mon enfant ! Qu’ont à voir les règles avec la main ? »[/color]

An-Nasâ'î l’a rapporté (1/53-68) en des termes plus courts : « Elle étalait sa natte [dans la mosquée] alors qu’elle avait ses règles. »

As-Shawkânî a dit (1/199) : « […] C’est une preuve pour qui est d’avis de la permission pour la femme en état de menstrues de pénétrer dans la mosquée par nécessité […] »

[Ensuite shaykh Al-Albânî a rapporté plusieurs versions du hadith, en des termes très proches, et il en a commenté les chaînes de transmission. Puis il a rappelé plusieurs hadiths faibles à ce sujet, parmi lesquels :]

Abû Dâwûd (1/36) rapporte d’après cÂ’ishah : « Le Prophète (salallahu ‘alayhi wasalam) est arrivé alors que les maisons de ses compagnons donnaient toutes sur la mosquée. Il dit : « Détournez [l’entrée] de ces maisons de la mosquée. » Personne ne fit rien dans l’espoir que le Prophète (salallahu ‘alayhi wasalam) leur accorde une permission. Il se rendit vers eux et dit : « Détournez [l’entrée] de ces maisons de la mosquée, car je ne permets pas l’entrée dans la mosquée à toute femme en état de menstrues, et à toute personne en état de grande impureté. »

Ibn Mâjah (1/222) rapporte d’après Mamdûh Ad-Dhuhalî : « Umm Salamah m’a dit : « Le Messager d'Allah (salallahu ‘alayhi wasalam) s’est mis au milieu de cette mosquée et a dit de sa voix la plus haute : « L’entrée à la mosquée n’est pas permise à la femme en état de menstrues et la personne en état de grande impureté. » (et dans une version, il ajouta : « Sauf pour le Prophète, ses épouses, cAlî et Fâtimah fille de Muhammad. »

At-Tirmidhî rapporte (2/300) d’après Abû Sacîd que le Prophète (salallahu ‘alayhi wasalam) a dit : « Ô cAlî ! Personne n’a le droit d’être en état de grande impureté dans cette mosquée, sauf moi et toi. »

[…] Nous voyons ainsi qu’il n’y a aucun hadith authentique interdisant à la femme en état de menstrues ou à la personne en état de grande impureté de rentrer dans la mosquée. La base est que l’entrée est permise, et on ne peut délaisser cela qu’avec un Texte authentique faisant office de preuve, surtout que plusieurs Textes appuient cette règle de base, comme la parole du Prophète (salallahu ‘alayhi wasalam) : « Apporte-moi la natte qui est dans la mosquée. » et d’autres qui vont suivre.

Ibn Hazm a dit : « Il est permis à la femme en état de menstrues ou de lochies de se marier et d’entrer à la mosquée, de même pour la personne en état de grande impureté, car aucune interdiction n’a été rapportée à ce sujet. Et le Prophète (salallahu ‘alayhi wasalam) a dit : « Le croyant n’est jamais impur. » De nombreux pauvres dormaient à la mosquée en présence du Prophète (salallahu ‘alayhi wasalam), et nul doute que certains d’entre eux se retrouvaient parfois en état de grande impureté, mais on ne le leur a jamais interdit de rester dans la mosquée.

Certains ont dit que la personne en état de grand impureté et la femme en état de menstrues ne pouvaient entrer dans la mosquée que pour la traverser, c’est l’avis de As-Shâficî, et ils ont donné pour preuve la Parole d’Allah :
« Ô vous les croyants ! N’approchez pas de la prière tant que vous êtes en état d’ivresse, jusqu’à ce que vous sachiez ce que vous dites, ou en état de grande impureté - à moins que vous ne soyez en voyage - jusqu’à ce que vous ayez pris un bain rituel. » [An-Nisâ’, v.43]

Ils ont prétendu que Zayd Ibn Aslam et d’autres que lui ont dit : le sens de ce verset est qu’ils ne doivent pas s’approcher des lieux de prière.

Ibn Hazm a dit : « Les propos de Zayd ne sont pas une preuve, et même si cela lui était réellement attribué, cela serait une erreur de sa part, car il ne lui est pas permis de supposer qu’Allah (I) aurait voulu dire : « N’approchez pas des lieux de prière » mais nous l’aurait caché en disant : « N’approchez pas de la prière » Et on a rapporté de cAlî Ibn Abî Tâlib, Ibn cAbbâs et d’un groupe de compagnons, que le verset concerne la prière. »

Mâlik a dit : « Il ne doit pas la traverser. »

Abû Hanîfah et Sufyân ont dit : « Il ne doit pas la traverser, mais s’il y est contraint, il doit accomplir auparavant les ablutions sèches (At-Tayammum)…. »

Ils ont appuyé cette interdiction sur les hadiths cités précédemment, puis Ibn Hazm a dit : « Et tout cela est faux. » Puis il exposa les défauts dans les chaînes de transmission comme nous l’avons fait, puis il cita d’après Al-Bukhârî, un hadith rapporté par cÂ’ishah : « Une jeune fille noire fut affranchie par une tribu arabe, elle vint au Messager d'Allah (salallahu ‘alayhi wasalam) et embrassa l’islam. Elle demeurait dans un abri dans la mosquée. »

Ibn Hazm dit : « Cette femme habitait dans la mosquée du Prophète (salallahu ‘alayhi wasalam), et il est connu que les femmes ont leurs menstrues, et le Prophète (salallahu ‘alayhi wasalam) ne lui a pas interdit pour autant de résider dans la mosquée, et tout ce que le Prophète (salallahu ‘alayhi wasalam) n’interdit pas est permis. »

Il dit : « Si l’entrée à la mosquée était interdite à la femme en état de menstrues, le Messager d'Allah (salallahu ‘alayhi wasalam) en aurait informé cÂ’ishah lorsqu’elle eut ses règles [pendant le pèlerinage] et que le Prophète (salallahu ‘alayhi wasalam) ne lui a interdit que de tourner autour de la Kacbah. Il est faux de leur interdire l’entrée à la mosquée, car le Prophète (salallahu ‘alayhi wasalam) n’a pas interdit l’entrée mais seulement de tourner autour de la Kacbah. C’est également l’avis de Al-Mazanî, Dawûd et d’autres. »
Al-Qurtubî dit dans son Tafsîr (5/206) : « Un groupe de savants a permis à la personne en état de grande impureté d’entrer à la mosquée, et certains se sont appuyés sur le parole du Prophète (salallahu ‘alayhi wasalam) : « Le croyant n’est jamais impur. » Ibn Al-Mundhir a dit : « et c’est notre avis. » »

Je dis : D’autres ont pris un avis médian en disant qu’il lui était permis d’entrer après avoir accompli ses ablutions [Al-Wudû’] Ainsi on trouve dans Tafsîr Al-Macâd de Ibn Kathîr (1/502) : « L’imam Ahmad fut d’avis qu’il était permis à la personne en état de grande impureté de rester dans la mosquée après avoir accompli ses ablutions, en raison de ce qu’il a rapporté, lui et Sacîd Ibn Mansûr dans ses Sunan disant que les Compagnons le faisaient. […] cAtâ’ Ibn Yasâr rapporte : « J’ai vu des compagnons du Prophète (salallahu ‘alayhi wasalam) s’asseoir dans la mosquée alors qu’ils étaient en état de grande impureté après avoir accompli leurs ablutions comme pour la prière. » La chaîne de transmission est authentique selon les conditions de Muslim. Et Allah est plus savant. »

Je dis : Ad-Dârimî rapporte (1/265) d’après Jâbir : « Nous marchions dans la mosquée en état de grande impureté, et nous ne voyions aucun mal en cela. » [La chaîne de transmissions n’est pas exempte de remarques.]

Mais accomplir ses ablutions est préférable en raison de la pratique des Compagnons. Et Allah est plus savant.

En résumé : Il n’y a aucune preuve pour interdire à la femme en état de menstrues et à la personne en état de grande impureté d’entrer dans la mosquée. Donc à la base, cela est permis ; et cela a été étayé par des preuves. Et c’est Allah qui accorde le succès.



Source : Ahkâm Al-Masâjid, p.165-178
Traduit et publié par les Salafis de l’Est
https://www.el-ilm.net/t4204-la-femme-et-la-mosquee

L’obéissance du serviteur à son Seigneur en secret

 El-Hāfidh Ibn Rajab

El-Hambaly رحمه الله a dit :

« L’obéissance du serviteur à son Seigneur en secret* est une preuve de la force de sa foi et de sa sincérité envers Lui. »

* Dans un lieu retiré, caché, dans une situation où l'on est pas observé. (Le Grand Robert)

« Majmu‘ Ar-Rasā’il » d’Ibn Rajab volume 2 page 752 aux éditions « El-Fārūq El-Hadīthâ »


Traduit par la chaîne:
https://t.me/El_3ilm_as_sahih/1124

Nous commençons ce par quoi le Messager ﷺ a débuté

 


L’imam al Albani رحمه الله :

« Nous commençons ce par quoi le Messager ﷺ a débuté. C’est-à-dire le Tawhid, les cinq piliers, en enseignant aux gens ce qu’a apporté le maître des Messagers. Nous marchons à la manière (vitesse) d’un bébé lent, voire à la manière d’une tortue en ayant la certitude d’arriver (au but) si Allah le veut. Quant à ceux-là, cela va faire des siècles qui ne cessent de s’écrier : le jugement appartient à Allah ! Puis, ils n’appliquent aucun jugement en ce qui les concerne qui soient conformes aux jugements d’Allah. Bien que si tu venais à dire à l’un d’entre eux : Prie tel qu’Allah te l’a ordonné. Il ne saurait le faire ! »

 سلسلة الهدى والنور - شريط: 655
Traduction : Na’ima Umm Talhah

Source: https://t.me/lascienceveridique/3746

On constate que de nos jours la célébration du mawlid an nabawi est considéré comme une religion

  L’imam Muhammad ibn Nassir al Din al Albani رحمه الله :


« L’imam même de dar al Hijra (l’imam Malik) dit d’un arabe clair et limpide : « Ce qui n’était pas une religion à l’époque du Prophète , ne peut être de nos jours considérée comme une religion ».
On constate que de nos jours la célébration du mawlid an nabawi est considéré comme une religion. Ce qui explique le désaccord existant entre les savants qui s’accrochent à la Sounnah et ceux qui défendent l’innovation.
Comment cette célébration peut-elle faire partie de la religion alors qu’elle était inexistante à l’époque du Prophète ﷺ, ainsi qu’à l’époque des compagnons, celle des tabi’in et des atba’ at tabi’in ?!
L’imam Malik a dit : « Quiconque suit les tabi’in », qui sont aussi visés par le hadith « la meilleure génération est la mienne, puis ceux qui les suivirent, puis ceux qui les suivirent ».
Par conséquent, ce qui à l’époque n’était pas une religion ne peut l’être aujourd’hui. Et ne pourra rectifier les derniers de cette communauté que ce qui a rectifié les premiers de celle-ci ».
📚 سلسلة الهدى والنور
رقم الشريط ١/٩٤
Traduction : Na’ima Umm Talhah
https://t.me/lascienceveridique/3770

Parmi le comportement à avoir avec le Prophète

 Ibn El-Qayyim رحمه الله a dit :


« Parmi le comportement à avoir avec le Prophète صلى الله عليه وسلم : le fait que les voix ne s'élevent pas au-dessus de la sienne car cela est une cause d'annulation des œuvres.*

Que penser du fait d'élever des opinons et des déductions au-dessus de sa Sunna et de ce avec quoi il est venu ?! »

* {Ô vous qui avez cru! N'élevez pas vos voix au-dessus de la voix du Prophète, et ne haussez pas le ton en lui parlant, comme vous le haussez les uns avec les autres, sinon vos œuvres deviendraient vaines sans que vous vous en rendiez compte.} [El-Hujurāt -2].

 « Madārij As-Sālikin » volume 3 page 160 aux éditions « Dār Ibn Hazm »

Source: https://t.me/El_3ilm_as_sahih/1128

Les bonnes actions accomplies par un enfant pieux ...



Le grand savant al-Albânî
qu'Allah lui fasse miséricorde a dit:

"Les bonnes actions accomplies par un enfant pieux rapportent à ses parents une récompense équivalente, sans que cela ne diminue en rien la récompense de l'enfant, car l'enfant fait partie de leurs efforts et de leurs gains.

Le Prophète ﷺ a dit : «La meilleure chose qu'un homme puisse manger est ce qu'il a gagné de ses propres mains, et son enfant fait partie de ses gains.»

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قال العلامة الألباني رحمه الله:
"ما يفعله الولد الصّالح من الأعمال الصّالحة فإنّ لوالديه مثل أجره، دون أن ينقص من أجره شيء ؛ لأنّ الولد من سعيهما وكسبهما، وقد قال ﷺ : «إنّ أطيب ما أكل الرجل من كسبه، وإنّ ولده من كسبه»."

أحكام الجنائز : ١٢٦ - ١٢٧

Traduit par @ParolesPrecieuses
https://t.me/parolesprecieuses/1631

Il convient à celui qui est renfrogné et de mauvaise humeur de sourire

 



TON MAUVAIS COMPORTEMENT SE DOIT D’ÊTRE COMBATTU..⁉️

 L'imam Al-Dhahabi, رحمه الله a dit dans le sens :

"Il convient à celui qui est renfrogné et de mauvaise humeur de sourire,
d'améliorer son caractère,
et de se détester pour la médiocrité de son comportement.

🔴

Tout écart par rapport à la modération est blâmable,
et il est nécessaire pour l'âme de faire des efforts et de s'éduquer."



📚[سير أعلام النبلاء ١٠ /١٤١]


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Source: https://t.me/Fawaidislamya